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Marylise Léon en soutien aux équipes CFDT de Sanofi à Chilly-Mazarin

Marylise Léon, la numéro 2 de la CFDT, est venue rencontrer les équipes CFDT du site de Chilly-Mazarin qui se battent pour le maintien des activités afin d’éviter la fermeture. Les délégués syndicaux centraux (DSC) de Sanofi étaient aussi présents.

Après une première partie de réunion consacrée à l’actualité nationale, les adhérents et les sympathisants ont présenté le site à Marylise Léon et lui ont expliqué l’énorme gâchis pour Sanofi et ses salariés que constituerait la fermeture de ce site, magnifique outil de recherche et développement. Les échanges avec les présents ont été riches et intenses.

Cette visite lui a permis de mesurer l’importance des infrastructures, et en particulier, la pépite que constitue le bâtiment des laboratoires, certainement le plus moderne d’Europe.

Parmi les points mis en avant par les élus, qui s’interrogent sur la réelle volonté de la direction de conserver tous les emplois, figurait l’impact écologique d’une telle décision, qui va à l’encontre des discours officiels sur la réduction de l’empreinte carbone :
– Pourquoi obliger des salariés à prendre leur voiture 4 heures par jour dans les bouchons pour rejoindre leur nouveau site d’appartenance beaucoup plus éloigné (pas de transports en commun au départ de leur domicile) sans avoir la garantie de pouvoir se garer une fois arrivés ?
– Pourquoi construire de nouveaux bâtiments modulaires (véritables passoires thermiques) sur Vitry alors que des bâtiments fonctionnels et modernes existent sur Chilly ?

Marylise Léon a aussi rencontré la direction pour lui faire part de ses interrogations quant à sa stratégie changeante. La CFDT a également indiqué que l’accord GEPP qu’elle avait signé ne saurait s’appliquer dans le cas d’une fermeture de site et que dévoyer cet accord serait la preuve du manque de loyauté de la direction.

L’après-midi a été consacré à un autre projet de la direction, à savoir la fusion juridique des sociétés du groupe, qui risque de se solder par une remise en cause de tous les acquis sociaux.

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