Le conseil de l’Union fédérale des retraités (UFR) s’est réuni le 25 septembre. 18 sections étaient présentes. La secrétaire fédérale a présenté les enjeux du 3e congrès de la FCE et les deux résolutions. Au cœur du débat : clarification du projet de la CFDT, contenu du mot « réformisme » pour donner du sens à notre action, actualisation de notre revendication en matière de réduction du temps de travail, et renforcement de notre culture d’organisation.
Après le débat sur les retraites, le chantier sur le fonctionnement démocratique de la CFDT est lancé. Il sera à l’ordre du jour du conseil national confédéral d’octobre. Le comité directeur fédéral en sera saisi. Les militants retraités y prendront part au sein de leur syndicat.
Une session de réflexion sur les sections retraités est prévue du 21 au 23 octobre, à Bierville. Les résultats de l’enquête sur leur fonctionnement y seront communiqués. On sait déjà que 20 sections ont répondu à l’enquête. Cette session permettra d’analyser de façon approfondie les forces et faiblesses des sections retraités et formuler si nécessaire des propositions d’amélioration. L’objectif de 30 inscrits à la session est atteint. Cela montre la motivation des militants retraités.
Le conseil a examiné ses résultats en matière de développement. Le nombre d’adhérents progresse de 2,1 % depuis fin 2002. 15 sections sont en progression. 7 sont en baisse et 5 sont stables. Des initiatives doivent être prises dans chaque section pour aboutir à la progression des 27 syndicats. Certaines sections mènent des actions intéressantes. Celle du syndicat Lorraine s’est fortement développée dans le secteur privé (120 adhérents aujourd’hui) suite à la prise en charge de dossiers de défense individuelle concernant l’amiante pour des anciens salariés d’Elf Atochem.
120 retraités ont participé à une réunion d’information sur le sujet avec pour objectif de tous les syndiquer. La section contactera aussi individuellement 100 anciens adhérents actifs de la CFDT, aujourd’hui retraités, de la régie d’électricité de Metz, afin de leur proposer l’adhésion.
