Soyons clairs, les entreprises les plus performantes sont celles qui comportent le plus de femmes dans leur conseil d’administration. Pourquoi n’en serait-il pas de même dans le syndicalisme ?

Depuis plusieurs années, le SCEPC s’est engagé dans une démarche de détection de talents féminins. Le résultat commence à se voir :
Sur 10 personnes de l’exécutif du syndicat, 6 sont des femmes : Nathalie trésorière, Laetitia secrétaire adjointe, Malka responsable formation, Marina responsable juridique, Marie-Paule responsable axe revendicatif et Joëlle responsable TPE.

Au Conseil syndical, 12 femmes sur 30 conseillers (voir la photo sur laquelle manquent : Laetitia, Marina, Hager, Najet, Noëlle). Le syndicat est représenté au bureau de l’UD13 par Malka et présentera une candidate (Nathalie) au prochain congrès de l’URI pour intégrer le bureau URI.

Loin des discours stéréotypés sur l’égalité professionnelle, dans une région pourtant à la réputation très machiste, la mixité au syndicat Chimie Energie Provence Corse, on la voit…