26 sections syndicales d’entreprise (SSE), issues de 6 syndicats, se sont lancées dans la démarche TEQ (Travail en questions). C’est le bilan qui a été effectué lors du CDF des 30 septembre et 1er octobre 2004. L’unanimité des SSE et des syndicats qui ont participé à la démarche la jugent positive pour la pratique syndicale et considèrent qu’elle est une aide à la reconquête du terrain. Le TEQ apparaît donc comme un bon outil de développement syndical, même si pour le moment ne ressort qu’une vision quantitative de son avancement (nombre de SSE concernées, de questionnaires remplis ).
Pour redynamiser et démultiplier le TEQ, 3 types d’action seront engagés. En premier, l’offre de formation sera relancée par la montée de 5 à 6 sessions interrégionales à destination des 18 syndicats non encore investis dans la démarche. Objectif : former, sur une journée, un nombre suffisant de militants par syndicat (4 environ). Ils seront ensuite en charge du suivi des chantiers TEQ auprès des SSE. S’agissant d’un outil de développement, le choix des militants à former dans les syndicats peut utilement se porter parmi ceux qui sont investis dans le comité action développement. 1ères périodes de formation envisagées : 2e quinzaine de novembre, dernière semaine de janvier et 2e quinzaine de mars. En second, il s’agira, par le canal des branches, de sensibiliser les SSE à la démarche. Enfin, les actions déjà engagées seront rendues visibles et valorisées par des articles de la presse fédérale et, tout particulièrement, au cours de la campagne Emploi. Les SSE doivent faire part de leur expérience et évaluer les retombées en termes de développement.