En février s’est déroulée la négociation pour faire évoluer les salaires minima dans la miroiterie. Les représentants des patrons ont expliqué toutes les difficultés qu’ils rencontrent actuellement : une conjoncture globale difficile, 300 000 logements construits pour 340 000 prévus, un recul de l’activité pour ce secteur y compris pour 2015. Ces éléments ont amenés la chambre patro-nale a proposé un 1er coefficient au Smic et une augmentation a minima pour les quatre suivants et rien après. La FCE proposait une augmentation entre 0,8 et 1,5% des coefficients avec la volonté de maintenir un écart mini entre les coefficients de la grille. La délégation CFDT a jugé inacceptable les propositions patronales au regard de ses revendications et de la situation des salariés de la miroiterie.
Explosion à l’usine Elkem de Saint-Fons
Communiqué commun FCE-CFDT et CFDT Auvergne-Rhône-Alpes
