La CFDT, avec sa secrétaire générale Marylise Leon, était présente, le mercredi 6 novembre, devant le tribunal de commerce de Lyon, pour l’audience de suivi de la procédure judiciaire de Vencorex.
La Fédération Chimie Energie CFDT (FCE-CFDT), l’Union régionale interprofessionnelle CFDT Auvergne Rhône-Alpes, la Confédération CFDT, le Syndicat Chimie Energie CFDT Dauphiné Vivarais et Rhône-Alpes Ouest, la section de Vencorex, toutes les sections CFDT des entreprises indirectement impactées, et plus largement toute la CFDT, sont mobilisés en faveur des salariés de Vencorex pour sauver le site de Pont-de-Claix. Il est urgent de trouver un repreneur !
L’effet domino risque d’être redoutable pour l’ensemble des acteurs de la filière. La CFDT les appelle à jouer la carte de la solidarité pour sortir par le haut de cette situation en reprenant le site et en imaginant des coopérations et des partenariats nouveaux pour assurer les approvisionnements, comme les débouchés, dans le but d’une gestion pérenne de la plateforme.
La CFDT interpelle les pouvoirs publics français et européens, afin de maîtriser et de réguler la concurrence internationale à bas prix et de favoriser toute solution française et européenne, en appuyant sur la modernisation et la décarbonation du site.
Toute la CFDT s’engage et souhaite trouver des solutions pour les salariés de Vencorex, et apporte son soutien aux 500 salariés de Vencorex de l’usine de Pont-de-Claix et à l’ensemble de l’Industrie chimique en difficulté
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