Lors de la négociation de la Convention collective nationale (CCN) de l’Union des métiers du verre, la FCE-CFDT avait imposé un avenant concernant la prévoyance collective de branche sur le décès, l’incapacité, l’invalidité et la maladie. Deux paritaires plus tard consacrées à ce sujet, la FCE est contrainte à réaffirmer ses exigences en la matière : définir les garanties minimales, établir un cahier des charges et lancer un appel d’offres.
Car après que toutes les organisations syndicales aient signé l’accord national de prévoyance que la chambre patronale leur avait fourni comme base de travail, il faut bien maintenant aborder les garanties. Et là, les employeurs commencent à tergiverser. Ils affirment pourtant vouloir aboutir à un accord.
La FCE, quant à elle, fera respecter l’avenant de la CCN et ira jusqu’au bout des négociations sur la base de ses revendications. La commission paritaire de juin devrait être déterminante.
A suivre
