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LA SANTÉ MENTALE : UN DROIT UNIVERSEL

Encart Si, de nos jours, la « santé mentale » fait partie de notre quotidien, cela n’a pas toujours été le cas. Né dans la première moitié du XXe siècle, dans les pays anglosaxons, le concept de mental hygiene s’est rapidement transformé en mental health, dès les années 1960. En France, il faudra attendre les années 1993-1995 pour que la « santé mentale » connaisse enfin une croissance considérable et devienne un référent actif pouvant définir des réalités institutionnelles.

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Taux et affectation de la CSG en 2024

Les Français ne savent pas à quoi sert la CSG ! La CFDT Retraités décrypte pour vous

La contribution sociale généralisée (CSG) a été créée par le gouvernement de Michel Rocard, dans le cadre de la loi de finances pour 1991. L’objectif principal était d’élargir l’assiette de financement de la Sécurité sociale, alors qu’à l’époque elle reposait essentiellement sur les salaires et les revenus d’activité. Ainsi, l’assiette de la CSG s’est rapidement étendue aux revenus du capital (revenus financiers, revenus fonciers sur les locations, plus-values), aux retraites et même aux gains de jeux (Française des jeux, casinos, etc.).

Au début, la CSG a financé la branche Famille (allocations familiales, etc.). Puis, elle a alimenté le Fonds de solidarité vieillesse (FSV), qui a pour mission de financer divers avantages vieillesse à caractère non contributifs relevant de la solidarité nationale, comme l’allocation de solidarité aux personnes âgées (Aspa), appelée aussi le « minimum vieillesse ». Le FSV est alimenté par la CSG collectée sur les pensions de retraite et les revenus du capital. Ensuite, progressivement jusqu’en 1997, la CSG a remplacé les cotisations maladie sur les salaires.

La CFDT, attentive au projet de loi de finances de la Sécurité sociale, a édité à l’époque plusieurs affiches sur le thème de la sécu-vérité. Elle demande alors une modernisation du système et un élargissement de son financement à tous les revenus, de manière à diminuer les cotisations sociales des bas salaires.

En 2024, un point de taux de prélèvement de la CSG représente 16,1 milliards d’euros de recettes pour la Sécurité sociale. Chaque année, le gouvernement modifie l’affectation de la CSG dans la loi de financement de la Sécurité sociale.
Source : cfdt-retraités.fr

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