Le 12 janvier, le syndicat Bretagne a réuni plus de 80 de ses DS pour les accompagner sur 2 thématiques fortes.

La 1ère : la mise en place des ordonnances Macron, avec un axe majeur, le CSE, fruit de la fusion des 3 IRP qui font partie de notre paysage syndical depuis plus de 40 ans. Ce changement nécessite de préparer les équipes pour la négociation de leur protocole d’accord préélectoral, et surtout de l’anticiper, car la négociation du PAP subit quelques modifications. La présentation a été assurée par Sextant, cabinet d’experts en partenariat avec la CFDT, et par la fédération pour les aspects revendicatifs de la CFDT. La matinée a été fructueuse en échanges, en débats sur cette question, qui peut générer quelques inquiétudes si les équipes ne sont pas formées. Cette appropriation est le gage du maintien de notre représentativité dans les entreprises et dans les branches.

La 2nd thématique : la QVT. Le Syndicat Chimie Energie Bretagne, sensible aux par les attentes émises par les salariés en termes de bien-être au travail, se positionne comme leur acteur incontournable, source de QVT.

Une des raisons est d’être reconnue comme le syndicat référent par les salariés et les directions pour la force de ses propositions dans le cadre des négociations sur la QVT. C’est dans ce sens que le syndicat recherche des solutions innovantes pour renforcer la pertinence de ses offres.

Il s’agissait donc de proposer aux militants une démarche, une méthode et des outils pour renforcer leur rôle de négociateur dans le cadre d’accord QVT, par la puissance de leurs suggestions. Il a été rappelé aux militants l’ensemble des outils à leur disposition, comme la nouvelle enquête Flash sur la QVT, mais aussi un nouveau module de formation « QVT » mis en place par le syndicat.

La journée s’est terminée vers 16 h 30, avec l’annonce faite par Isabelle Rault, secrétaire générale, d’une nouvelle assemblée générale en présence de Maryline Morand sur les ordonnances au second semestre.