Pour la première fois depuis 2012, le Syceler voit croître son nombre d’adhérents. Pour cela, il avait décidé de confectionner un plan Développement comme un quatre-quarts. En voici la recette :

– Mettre dans le plan d’action: Développement une proportion de formation (« Bienvenue », « Proposer l’adhésion », former beaucoup de négociateurs de protocoles préélectoraux, établir des plans de formation des sections syndicales).
– Ajouter un volume identique de négociations de protocoles préélectoraux, avec à la fois une grande palette de négociateurs et une carte syndicale à jour.
– Mélanger avec un resserrement des liens entre les sections syndicales existantes et la commission exécutive avec des militants référents.
– Lier le tout en intégrant dans le plan de formation un dernier volume identique, un challenge Développement.
– Et être patient, laisser mijoter la première année, et déguster collectivement les fruits du travail accompli.

Lancé en 2016, le plan Développement porte ses fruits en 2017.

Le challenge Développement 2016, bien que prometteur (77 adhésions conformes aux critères du challenge), n’a pas suffit à endiguer les nombreux départs. Le travail des négociateurs de protocoles préélectoraux a été récompensé en voyant 5 nouvelles sections rejoindre le syndicat.

En 2017, le syndicat a fêté le challenge 2016 lors d’une soirée privée en catamaran au large de l’extrémité nord de la Côte d’Améthyste.

Pour 2017, deux nouvelles sections nous ont rejoints. Le plan d’action était orienté vers les jeunes. Le syndicat a donc établi le sien, le challenge étant de récompenser les adhésions des moins de 36 ans. C’est donc 15 jeunes qui ont adhéré à la CFDT du Syceler. La dynamique de développement vers les autres catégories n’a pas été enrayée, puisque 89 autres salariés nous ont rejoints.

En 2018, le plan d’action est orienté vers les cadres, des sessions de formation spécifiques sont proposées, et le challenge Développement récompensera les adhésions des cadres.
A mi-janvier, déjà trois adhésions de cadres sont enregistrées au Syceler.

Le travail assidu des adhérents du syndicat est payant, mais celui-ci n’a pas enrayé la crise démographique qui va l’impacter dans les années à venir. Cette préoccupation est dans les esprits de tous ; l’indépendance, l’audience et la crédibilité du syndicat en dépendent, et chacun en est conscient.