Un groupe de travail, composé de représentants de l’EUPC (patronat européen des industries du plastique) et de l’Emcef, a étudié les possibilités de mise en place des certificats de compétences européens dans le secteur. La rencontre du 13 juin à Bruxelles avait pour objet de rendre compte de l’état ds réflexions de la plasturgie. L’inventaire fait en matière de formation et de validation dans les pays de l’Union révèle un véritable patchwork. Le groupe propose de ne pas remplacer les systèmes en vigueur, mais d’y adjoindre une grille déterminant les compétences.

L’instauration d’un système de tests et de jurys paritaires ne choque personne. Il en va autrement quand on parle de traduction en termes de salaires minima. Cela provoque le désaccord de représentants patronaux belges et britanniques.

Le dialogue social à l’échelle européenne n’est pas une utopie. Il se met en place. Le travail du groupe paritaire le prouve.