La CFDT du groupe dénonce des conditions de travail dégradées par des restructurations répétées, l’externalisation des activités, les incertitudes sur l’avenir des sites français et une politique salariale au point mort accompagnée d’une absence totale de reconnaissance du travail des salariés.
Dans ce contexte, auquel vient s’ajouter une inflation post-COVID record, la direction du groupe doit entendre le mécontentement et les attentes de ses salariés en matière de pouvoir d’achat et de conditions de travail.
C’est pourquoi la CFDT appelle tous les sites français du groupe à une mobilisation le 25 novembre.