Dans un contexte visiblement préélectoral, le Syndicat National de l’Industrie Pharmaceutique (SNIP) s’en est tenu à des positions idéologiques : « la logique Aubry est à la proratisation des salaires sur 35h, les salaires conventionnels doivent être annualisés en y incorporant tous les éléments de la rémunération ».
Pour 2002, le SNIP ne propose que 2% sur la base 35h, laissant 4 niveaux de la grille sous le SMIC base 39h !
La FCE-CFDT, suivie des autres O.S., a refusé une telle proposition qui tourne le dos à ses engagements antérieurs.