Une délégation de la FCE-CFDT, composée de la secrétaire fédérale responsable des IEG et du secrétaire national animateur de la branche, s’est rendue au congrès de la Fédération nationale des mines et de l’énergie (FNME) CGT.
Le congrès de Biarritz était annoncé comme celui de tous les dangers. Dès le 13 octobre, Frédérick Imbrecht, dans son rapport d’ouverture, plaçait l’équipe fédérale sortante dans une posture critique à l’endroit du gouvernement. Pour désamorcer la critique des plus radicaux, il n’a pas oublié de nous donner, au passage, un petit coup de griffes sur le dossier des retraites. Précisant, dans la foulée, que « les manifestations du printemps [n’étaient] pas les prémices d’une grève générale et que le service public [n’était] pas assuré par les seules fonctions publiques et entreprises nationalisées ».
Les congressistes ont été appelés à s’exprimer sur le bilan d’activité, la place des syndiqués et le statut des énergéticiens.
L’équipe sortante est reconduite, un nouveau secrétaire général élu et une étape nouvelle vers le réformisme franchie.