8 mars, Journée internationale des droits des femmes. De toutes les femmes, de celles que l’on voit, de toutes celles qui agissent sans qu’on le voit. Qui sont-elles ? Ce sont les femmes que l’on a applaudi pendant le 1er confinement, puis un peu moins au second. Ces femmes pleinement mobilisées pendant la pandémie et qui, au-delà, chaque jour, œuvrent pour le bien-être des autres, prennent soin des autres, accompagnent, protègent, nourrissent, participent à faciliter la vie de tous. Elles sont caissières, infirmières, assistantes maternelles, femmes de ménage, auxiliaires de vie, coiffeuses, assistantes, laborantines… travaillent dans tous les secteurs qui encadrent nos vies, facilitent nos vies, soulagent nos vies, y engageant la leur sans recevoir la reconnaissance qui leur est due. Pour toutes celles qui nous sont essentielles, la CFDT a organisé une marche, le 8 mars, devant le Panthéon, dont le fronton est paré de la formule « Aux grands hommes la patrie reconnaissante ». Une symbolique forte pour revendiquer qu’à ces femmes essentielles il doit être offert reconnaissance par des salaires et des conditions de travail à la hauteur de leur implication dans nos quotidiens.
La FCE-CFDT s’est investie dans cette mobilisation pour réclamer que, à tout niveau de la société, dans toutes les entreprises, l’engagement des essentielles soit reconnu, valorisé. Il est temps de projeter la lumière sur celles qui subissent depuis trop longtemps l’absence de regards et d’écoute et d’ouvrir les yeux et les oreilles bien au-delà de cette journée de mobilisation !