Plus de 50 militant-e-s se sont retrouvés lors d’un séminaire de 3 jours sous le soleil d’Amiens. Une mise au vert qui a permis d’échanger sur les différentes pratiques liées à des conventions collectives et/ou à des secteurs d’activité très diversifiés. En écho aux propositions du pacte pour le pouvoir de vivre, les participants ont travaillé ensemble sur 4 chantiers clé, plus connus en interne sous l’appellation des « marqueurs » CFDT ENGIE : la répartition de la richesse produite, l’emploi des jeunes, la mobilité au sein du Groupe, le harcèlement et le sexisme.
Par ailleurs, les administrateurs salariés parrainés par la CFDT (Alain, Antony et Christophe) ont présenté les rôles et les missions du conseil
d’administration. Ils ont également échangé sur le statut de plus en plus prégnant des activistes au sein des groupes du CAC 40.
Les 4 marqueurs ont fait l’objet d’ateliers au cours desquels les équipes ont identifié les points positifs et négatifs dans chaque entreprise et leurs modalités de portage auprès des employeurs. De nouvelles idées ont également émergé de ces ateliers.Benoît, expert en Intelligence artificielle et militant CFDT chez ENGIE SA, a fait une présentation extrêmement pointue sur l’impact de l’IA sur les emplois de demain. Les échanges fournis avec les militants confirment que le sujet de l’IA reste au coeur de nos préoccupations.
Le rôle actif du groupe de travail social au sein du Comité européen ainsi qu’une édifiante présentation sur le projet de valorisation du parcours des mandatés ont complété ce très riche panorama.
Maxime Le Ru et Jean-Michel Gillet, représentant respectivement la FCE et la FNCB, ainsi que Nicolas Lefébure, directeur des relations sociales d’ENGIE, ont clôturé les débats lors d’une dernière table ronde sur la place de la CFDT chez ENGIE.