Le 20 mars dernier, s’est tenue la première phase de renégociation de l’accord relatif à la responsabilité sociale (RSE) du groupe EDF. Un accord arrivé au terme de sa durée légale, puisque signé le 24 janvier 2005 notamment par la FCE-CFDT.
Les travaux ont débuté par un tour de table permettant à chacun des participants, certains venus du monde entier, de s’exprimer sur les points forts et les points faibles de l’accord. Le constat, presque unanime, des négociateurs étrangers laisse clairement apparaître que cet accord est une bonne chose pour l’amélioration des conditions de vie et de travail des salariés des filiales étrangères du groupe.
La FCE s’est exprimée pour que l’application de l’accord soit davantage contrôlée. Elle a notamment revendiqué la création d’un bilan qui serait effectué par les représentants des salariés en complément (ou opposition) de celui déjà fourni par la direction. En clair, elle souhaite que l’instance internationale de dialogue social sur la RSE du groupe dispose d’une plus grande indépendance.