En introduction du CNB, un retour sur le congrès confédéral de Rennes a été réalisé. Le constat fait état d’une relation difficile avec le gouvernement qui prend écho dans les interventions critiques et constructives des syndicats de notre Fédération. Les changements de responsables fédéraux ont été présentés et dans l’actualité toujours le CNB a fait le point sur les cahiers d’acteur en cours de finalisation dans le cadre de la PPE (Programmations Pluriannuelles de l’Energie).

Suite aux élections du comité de coordination, les militants ont pu faire un retour sur le résultat qui voit la CFDT obtenir un siège supplémentaire (6 sièges). Un échange s’est aussi tenu sur les moyens bénévoles ainsi que sur la protection sociale de la CAMIEG.

En seconde partie, un point sur les retraites a été présenté, permettant de faire le point sur les régimes actuels et les systèmes qui pourraient se mettre en place. Par ailleurs, le sujet des Classifications / Rémunérations devrait entrer en discussion durant le second semestre au niveau de la branche. Le CNB a réalisé un bilan des précédentes évolutions et des pistes de travail afin de se préparer pour cette échéance.

Un point d’éclairage a ensuite été fait sur la mise en place des futurs CSE : échange sur les dates importantes à venir, les négociations et les enjeux de la GPEC militantes et des besoins de formations associés. Le CNB a ensuite planché sur la réforme de la Formation Professionnelle Continue dans ses grandes lignes et ses enjeux de cette réforme.

Enfin le CNB est aussi l’occasion de parler de l’actualité des entreprises. Celle-ci est marquée par l’annonce du gouvernement de l’ouverture du capital d’ENGIE qui alerte une nouvelle fois sur les responsabilités de l’Etat, notamment sur la conduite d’une politique à long terme préservant les intérêts de la France. Dans le cadre des discussions sur la transition énergétique et le rôle stratégique des entreprises de l’Energie, cette annonce est très inquiétante.