Le 16 janvier, l’équipe CFDT de Galderma ainsi qu’une partie des représentants du personnel se sont mobilisés devant l’Assemblée nationale pour interpeller les députés sur leur situation. Tous ont répondu présent, le syndicat territorial (SECAM), la FCE-CFDT, et même Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT, qui est également venu pour les soutenir dans leur combat.

Depuis que le groupe Nestlé a annoncé, début septembre, la réorientation de ses filiales Nestlé Skin Health, concernant la fermeture de son centre de recherche d’excellence de Sophia-Antipolis, générant ainsi la suppression de plus de 500 emplois, les salariés se battent et font des propositions. 

Pour la FCE-CFDT, la fermeture du plus grand centre de recherche sur la dermatologie en Europe et la délocalisation de la R&D en Suisse sont incohérentes et inacceptables. Il est de la responsabilité du groupe Nestlé de créer les conditions optimales pour assurer la reprise du site, avec le maintien d’un maximum d’emplois, et ainsi de perpétuer les activités de R&D à Sophia-Antipolis. 

La FCE-CFDT, avec son équipe et les représentant(e)s des salarié(e)s, a apporté des contrepropositions pour assurer la pérennité des emplois et le maintien d’une recherche de haut niveau sur la santé en France.

Nous devons garder une filière R&D d’excellence, et nous demandons à être entendus par la commission des affaires économiques de l’Assemblée nationale.

Pour rappel, signez la pétition : Non-à-la-fermeture-du-site-de-galderma-nestlé-skin-health-de-sophia-antipolis. http://k6.re/j5Z_b