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Chimie : L’avenir de la chimie rhônalpine

Faire prendre conscience de l’importance de l’activité industrielle de la chimie sur le territoire rhônalpin et construire les bases d’un projet CFDT, tels sont les objectifs de la réflexion qu’ont entamée depuis le début de l’année trois syndicats de la FCE-CFDT

Faire prendre conscience de l’importance de l’activité industrielle de la chimie sur le territoire rhônalpin et construire les bases d’un projet CFDT, tels sont les objectifs de la réflexion qu’ont entamée depuis le début de l’année trois syndicats de la FCE-CFDT. En relation avec l’URI (Union régionale interprofessionnelle) et le niveau fédéral, plusieurs réunions ont été organisées avec les équipes syndicales concernées.

L’analyse territoriale des différents bassins d’emplois de la région a été le point de départ pour avancer de manière opérationnelle. Elle permet d’élaborer des propositions de développement industriel qui concordent avec les valeurs de la CFDT. Et les sujets ne manquent pas. Sur 19 projets de création de pôles de compétitivité déposés dans la région, deux qui concernent de près ou de loin la chimie, ont été retenus en juillet dernier. Le premier implique des grands groupes comme Arkema, Rhodia et l’Institut Français du Pétrole. Il s’agit du pôle Axelera Chimie Environnement. Le second est Lyon Biopôle Virologie.

Les organisations syndicales doivent être reconnues comme acteurs légitimes en matière de problématiques industrielles. La FCE s’est d’ailleurs fortement impliquée dans le groupe national de réflexion stratégique sur l’avenir de la chimie en France à l’horizon 2015. Pour autant, force est de constater que les organisations syndicales sont loin d’être sollicitées localement sur les projets industriels qui les concernent. C’est pourquoi, lors de leurs réunions successives, les trois syndicats de la FCE ont eu à cœur de repérer les acteurs auprès desquels ils devaient porter leur analyse : l’Union des industries chimiques régionale, les entreprises (dont les PME), l’Etat, la préfecture, le Conseil régional ou encore le Conseil économique et social régional (CESR).

A la rentrée 2005, le CESR a été saisi par le Conseil régional pour mener une étude sur la filière chimique en Rhône-Alpes. Une réflexion similaire est aussi engagée sur la chimie iséroise. En octobre dernier, la réflexion s’est encore démultipliée lors de l’assemblée générale des sections syndicales du syndicat Rhône-Alpes Ouest. Mais, ce sont maintenant des actions concrètes et conjointes aux trois syndicats qui doivent être menées : interpellation des acteurs repérés, tracts relayant la problématique de la chimie rhônalpine, affiches, etc.

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