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CHEZ APTAR, LES BOUCHONS SONT STÉRILES, LE DIALOGUE AUSSI !

Les 29 et 30 octobre, les salarié(e)s des usines Aptar-Stelmi de Brécey et de Granville (Basse-Normandie) ont cessé le travail. Les militant(e)s CFDT ont organisé des débrayages en intersyndicale pour dénoncer des négociations salariales insuffisantes.

 Les 29 et 30 octobre, les salarié(e)s des usines Aptar-Stelmi de Brécey et de Granville (Basse-Normandie) ont cessé le travail. Les   militant(e)s CFDT ont organisé des débrayages en intersyndicale   pour dénoncer des négociations salariales insuffisantes.

Pour la section CFDT Aptar, la coupe est pleine. La direction propose une hausse de 1,2%, tout en annonçant une augmentation de la mutuelle de 6,5%, directement imputable aux salariés uniquement. « Face aux bons résultats de l’entreprise, c’est incompréhensible », déplore Jean-Louis, délégué syndical CFDT. L’écart entre ouvriers et cadres continue de se creuser, notamment à cause de bonus très élevés versés à la direction. Les tensions ne s’arrêtent pas là. La direction a également évoqué la possibilité d’imposer le travail de trois jours fériés. « Le gouvernement recule sur deux jours, ici, ils veulent nous en rajouter un ! Ils sont complètement déconnectés de la réalité », souligne la section CFDT.

Manque de reconnaissance, absence de dialogue et décisions unilatérales rythment le quotidien. La direction veut désormais instaurer un système de pointage pendant les pauses. « Une des valeurs de l’entreprise, c’est la confiance. Si on badge, il n’y a plus de confiance », rappelle Christophe Fourel, délégué syndical central CFDT Aptar Pharma. Les salarié(e)s demandent simplement une chose : que la confiance, le respect et le partage de la valeur produite deviennent des valeurs concrètes !

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