D’une durée exceptionnelle de sept ans, il s’inscrit dans la continuité et préserve le volume global des heures de détachement. Il est plus favorable à la CFDT que le précédent, grâce à une nouvelle répartition des heures bénévoles.
Il répond également à certaines de nos revendications exprimées dès l’ouverture des négociations :
– L’attribution et le fléchage d’heures de détachement en local, selon l’audience syndicale pour les salariés désireux de contribuer à la gestion des activités sociales de la branche.
– La mise en place d’un comité de suivi, composé des signataires en charge de constater les difficultés d’application rencontrées et d’émettre des recommandations.
– L’extension d’une convention de parcours à tous les détachés prépondérants à 50 ou 100%.
La CGT, quant à elle, fait le choix de ne pas signer cet accord qui lui permet pourtant de préserver ses moyens, encore bien supérieurs à son audience réelle. Une nouvelle fois, l’organisation majoritaire ne brille pas par son sens des responsabilités. La CFDT poursuivra son action en faveur d’une répartition plus juste des moyens. Tel sera son leitmotiv dans le cadre de la clause de revoyure prévue en 2025.
Sans plus attendre, nous devons rester mobilisés pour réussir les prochaines échéances électorales, levier majeur pour faire progresser nos idées, projets et moyens syndicaux.