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INDUSTRIES ÉLECTRIQUE ET GAZIÈRE Affaire dite « de la CCAS », renvoi devant le tribunal

Depuis plusieurs années, une enquête est en cours sur la CCAS (organisme qui organise, gère et contrôle les activités sociales de la branche des Industries électrique et gazière)...

Depuis plusieurs années, une enquête est en cours sur la CCAS (organisme qui organise, gère et contrôle les activités sociales de la branche des Industries électrique et gazière). Le juge d’instruction en charge de l’information judiciaire portant sur cette affaire dite « de la CCAS » a décidé du renvoi devant le tribunal correctionnel de 16 personnes physiques et morales dont la confédération CGT et sa fédération Mines Energie. Les prévenus devront répondre selon leurs fonctions, soit d’abus de confiance, soit de complicité d’abus de confiance, soit de recel d’abus de confiance ou encore de faux et usage de faux qui auraient été commis au préjudice des intérêts des bénéficiaires des activités sociales.

Constituée partie civile dès l’ouverture de l’information judicaire, la FCE-CFDT a toujours défendu les intérêts des agents des IEG, actifs et retraités et de leur famille. Nous n’avons eu de cesse de dénoncer année après année la gestion des dirigeants de la CCAS qui semble avoir ouvert la porte à toutes les dérives et expose l’institution à de nouveaux déchainements médiatiques au risque de la mettre en péril.

Alors que le procès en correctionnel va s’ouvrir dans les prochains mois, il n’est plus possible pour les personnes renvoyées devant l’instance concernée de continuer à crier, encore aujourd’hui, au complot permanent contre une gestion préten-dument exemplaire des activités sociales,

Comme nous l’avons toujours affirmé depuis le début de cette affaire, si le tribunal venait à juger que les intérêts des personnels des IEG ont été bafoués, les préjudices subis devraient être alors réparés. La FCE-CFDT en sa qualité de partie civile, y veillera particulièrement lors de l’audience du jugement.

Il n’y a donc ni complot, ni fatalité dans cette affaire ! Cela démontre s’il le fallait, la nécessité d’instaurer une toute autre gestion des activités sociales de la branche IEG, une gestion alternative à celle imposée, sans partage, depuis plus de 60 ans par la CGT. Une gestion transparente, qui respecte le pluralisme syndical, avec de réels moyens de contrôle de la part de tous les partenaires sociaux. Une gestion qui permette d’apporter aux salariés de la branche et aux retraités, des activités sociales de qualité, en adéquation avec leurs attentes d’aujourd’hui.

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