Au CNB de juin, il a surtout été question des élections professionnelles de novembre 2013.
Les négociations des protocoles pré électoraux pour organiser le scrutin ont commencé dans plusieurs entreprises.
A EDF SA, l’accord n’a pas reçu les signatures suffisantes pour rendre valide le protocole. Seules 4 organisations syndicales sur les 10 appelées à la table des négociations l’ont signé. A noter que FO n’a pas apposé sa signature. La liaison d’EDF SA est dans l’attente de la décision de la Direction. A ERDF et à GRDF, la CGT majoritaire dans les 2 entreprises, a refusé le vote électronique. Ce sera donc un vote physique. Les négociations du protocole sont difficiles car la FCE-CFDT souhaite sécuriser au maximum le vote. Les deux DSC sont inquiets quant à l’aboutissement de ces négociations. En tout état de cause, en l’absence de vote électronique qui permettait de réduire le coût des scrutins, les Directions ne donneront pas de financement aux fédérations syndicales. A GRT Gaz, les négociations viennent de débuter, et là encore la CGT a imposé un vote physique.
Les liaisons commencent à mettre en œuvre leurs plans d’actions de campagne électorale et rédigent leur profession de foi. Les deux mois d’été seront consacrés à finaliser les différentes actions. Elles doivent être prêtes dès la rentrée de septembre.
Le bureau de branche a réalisé et diffusé aux équipes le bilan de la mandature ainsi que le livret d’accueil et a lancé sa première lettre d’information. Le barnum a commencé avec deux premiers déplacements, l’un à Bordeaux et l’autre à Rodez. Il reste à finaliser le
projet CFDT pour les agents des IEG pour les 3 ans à venir : pour défendre les intérêts de tous les agents dans un contexte de crise économique qui dure et de concurrence entre les entreprises. La FCE-CFDT n’acceptera pas un dé-tricotage des droits sociaux.
D’ores et déjà, nous sommes conscients que le climat de cette campagne n’est pas serein. FO a déjà commencé son action de désinformation sur le dossier retraite et attaque la CFDT de façon très déloyale. Notre analyse de la situation des activités sociales et nos propositions pour les gérer autrement déstabilisent la CGT.•