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Agir chez l’Oréal, du local à l’international

Après une première rencontre organisée en avril à Paris, la seconde étape s’est déroulée à Bruxelles, en octobre. Une trentaine de délégués issus des sites européens de l’Oréal et membres de l’Instance européenne de dialogue social (IEDS), se sont retrouvés pour mener à son terme le séminaire organisé par la FCE-CFDT et le syndicat belge CSC.

Après une première rencontre organisée en avril à Paris, la seconde étape s’est déroulée à Bruxelles, en octobre. Une trentaine de délégués issus des sites européens de l’Oréal et membres de l’Instance européenne de dialogue social (IEDS), se sont retrouvés pour mener à son terme le séminaire organisé par la FCE-CFDT et le syndicat belge CSC. Cette seconde rencontre s’est engagée sur les effets négatifs des produits cosmétiques utilisés par les personnels des salons de coiffure. Ensuite le débat s’est ouvert sur le thème de la responsabilité sociale des entreprises (RSE). Invitée, une représentante de la Commission européenne a défini la responsabilité sociale, soulignant qu’il s’agit là d’un élément du modèle social européen. « C’est une démarche qui s’inscrit dans la politique de développement durable mais également dans les objectifs de croissance et d’emploi définis à Lisbonne. C’est aux parties prenantes de l’entreprise, des directions aux salariés, de s’impliquer dans une compétitivité responsable, mais aussi la stabilité sociale et la solidarité ». Le représentant de l’Icem, notre fédération syndicale internationale de la chimie, est intervenu pour décrire la situation au niveau mondial. Il a souligné l’existence d’accords RSE conclus dans treize entreprises multinationales. Et il s’est fait plus disert sur l’accord signé chez Rhodia, mettant l’accent sur la mise en œuvre et le suivi dans lequel l’Icem est impliquée.

De la même façon, Marc Ferron militant de la FCE-CFDT, secrétaire du comité mondial d’EDF, a décrit par le menu le contenu de l’accord signé dans l’entreprise, son application ainsi que le suivi du dispositif.

Aussi s’appuyant sur l’ensemble des réflexions et débats qui ont ponctué les travaux menés au cours des deux rencontres, les animateurs ont dégagé quelques pistes de travail, tant pour les équipes syndicales que pour l’instance européenne. L’accent a été mis sur la perspective d’un accord RSE qui offrirait des garanties aux salariés et aux sous-traitants du groupe de par le monde, notamment en termes de conditions de travail. Et les difficultés rencontrées en Pologne étant à plusieurs reprises mises en exergue. Au final les participants ont dit leur satisfaction d’avoir ensemble défini des objectifs pour demain.

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