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6eme congrès fédéral chimie énergie à St Malo – La délégation SCEPC : une équipe motivée dans la cité corsaire

1er jour : notre fine équipe se retrouve à l'aéroport de Marseille, Malka respire, toutes ses ouailles répondent à l'appel, on croise des célébrités (Frérot Delavega, joueur de l'OM) et enfin on embarque. Vol calme, bonne humeur et retrouvailles chaleureuses entre les membres de la délégation sont au RDV. Arrivés à Rennes la Bretagne nous fait honneur et nous accueille avec sa pluie légendaire, nous comprenons rapidement que le contenu de nos valises ne va peut-être pas être adapté....

1er jour : Notre fine équipe se retrouve àl’aéroport de Marseille, Malka respire, toutes ses ouailles répondent àl’appel, on croise des célébrités (Frérot Delavega, joueur de l’OM) et enfin onembarque.
Vol calme, bonne humeur et retrouvailles chaleureuses entre lesmembres de la délégation sont au RDV.
Arrivés à Rennes la Bretagne nous fait honneur et nous accueille avec sa pluielégendaire, nous comprenons rapidement que le contenu de nos valises ne vapeut-être pas être adapté.
En bons sudistes, nous, au mois de juin on sort les tee-shirtset les chaussures ouvertes !
Petite déconvenue : une des voitures réservées n’est pas là.
Nous devons attendre une heure que l’agence puisse nous enfournir une autre, Malka et Jean-Philippe demandent un surclassement,obtiennent un oui et que le café nous soit offert, rêvent déjà  d’une belle berline et ont une tête à mourirde rire quand un Berlingot nous est finalement attribuée.
Arrivés à l’hôtel, nous prenons possession de nos chambres (trèsjolies, les chambres).
 
Pendant que certains se reposent, d’autres vont aux thermesd’eau de mer (faut bien se soigner).
 
Certainsvont balader sur les remparts et en ville (histoire d’acheter un K-Way). D’autrespartent visiter la ville de Cancale et la pointe du Grouin. Ou sur la plage de St Malo
 
En fin de journée, nous nous retrouvons dans la chambre deMalka, histoire de prendre l’apéro avant de partir dîner en ville.
Petit resto sympa sur la place touristique de la mairie, lecentre ville est littéralement envahi de CFDTistes.
 
2ème jour : Enfin le congrès débute ! Toujourssous la pluie mais courageux et équipés de nos tee-shirts
« 13 ON CRAINT DEGUN ».
 
Nous avons découvert la cité historique ainsi que le Palaisdu Grand Large.
Les membres du syndicat Bretagne se sont donnés beaucoup de malpour que tout soit parfait et ils ont réussi. L’auditorium est moderneet confortable.
 
Le palais offre une vue magnifique sur la mer et sur lesremparts de la cité, panorama dont nous avons profité lors des pauses et dubuffet de midi offert sur place.
 
Nous prenons possession de nos places et écoutons sagementtoutes les interventions jusqu’à celle de Malka, occasion au cours de laquellenous avons fait la démonstration de ce qu’étaient des encouragements « à lamarseillaise » (bruyamment diront les autres congressistes, Thomas s’estmême fendu d’un « allez l’OM !  » très bien accueilli par le public).
 
Nous retrouvons des amis et connaissances des autresdélégations, les liens et les réseaux commencent à se créer.
A la fin des travaux, à 19h30 (et oui on travaille tard encongrès) rebelote pour l’apéro dans la chambre de Malka devenue notre QG dedébriefing.
Le gros de la troupe part en ville dîner alors que Rkia etNathalie restent à l’hôtel afin de préparer leurs interventions respectives àla tribune.
 
Certains profiteront d’une accalmie de la pluie pour balader surles remparts et sauver une limace d’une mort certaine. Effectivement, pourqu’elle ne se fasse pas manger par les mouettes Marie Té l’a « basardée » du hautsde remparts (parce que comme elle nous l’a expliqué très philosophiquementqu’elle avait plus de chance de s’en sortir en s’écrasant dans le sable ????)
 
3ème jour : 9 h00. Le grand jour de Rkia estarrivé (quoique ce n’est pas une bleue, elle est déjà montée à la tribune lorsdu congrès confédéral de 2014).
 
Elle est parfaite, et sans être chauvine, elle a vraimentreprésenté le SCEPC, nous la soutenons (toujours avec bruits et fureur), lasalle l’applaudit et même lors des questions-réponses, les intervenants lafélicitent. On est tellement fiers !!!!!!
 
Laurent Berger est là, certains arrivent à l’approcher pour unephoto en individuel (Franck a du dossier hight level) ou en groupe. Nous sommesquand même allés à l’apéro jeunes militants, mais essentiellement pour soutenirmoralement Rkia, hein! Pas par opportunisme, ce n’est pas notre style de taperl’incruste).
 
Mohsineest officiellement désigné comme le sosie officiel de Laurent Berger est prendle pseudo de Lolo de Casablanca.
 
Et commenous sommes des gens discrets et timides ne trouvant pas de table pour ledéjeuner nous nous sommes installés à une des tables fédérales.
 
Là nous avons fait (avec beaucoup de plaisir) la connaissanced’une DS de chez L’Oréal qui pousse l’abnégation au point de BEAUCOUP utiliserles produits de la marque, notamment les fixateurs pour cheveux, un vrairevival 80’s.
L’après midi se passe en douceur entre écoute et torpeur (quecelui qui n’a jamais piqué du nez en congrès nous jette la première pierre!!!).
19h00, fin des travaux. De retour à l’hôtel, nous nous apprêtonspour être les plus beaux à la soirée bretonne organisée par le syndicat hôte ducongrès.
Des bus nous mènent à l’endroit choisi pour la soirée.
Le manoir est superbe, le menu plein de crêpes, et la musiqueceltique envoûtante.
 
La soirée se passera dans la bonne humeur et l’échange avec lesautres délégations, mais au moment du retour un orage dantesque venu avec son lotde grêlons, s’abat sur nous (Ha ! l’hospitalité des bretons, toujours prompts àvous faire découvrir leurs spécialités locales), heureusement le gentilchauffeur de bus se propose de faire un détour pour nous déposer dans noshôtels respectifs plutôt que devant le Palais de la mer.
Reconnaissants, les congressistes ont fait une quête afin de luioffrir le pourboire qu’il méritait (et non je n’ai tapé sur personne pour lesforcer à donner).
4eme jour : Les premiers débats sur lesamendements ont lieu, et la tension commence à monter pour Nathalie qui réaliseque oui, c’est elle qui va monter parler devant 350 personnes qui peuvent lahuer ou l’applaudir, et que même si elle n’aime pas l’avion, elle prendraitbien le premier vol pour la maison !!!! Surtout quand elle comprend qu’elle vabien pouvoir profiter de son angoisse puisqu’elle passe en avant dernier lelendemain matin. La douceur et les conseils de Nathalie Brunel et Joëlle larassurent (un peu).
Heureusement, toute l’équipe la soutient, l’encourage et la faitrépéter, et de guerre lasse devant cette boule d’anxiété à la fin des travaux,à 16h00, lui fait acheter un maillot de bain et l’envoi aux thermes marins avecses copines histoire de la détendre.
 
Le soir, la Fédération nous a offert une soirée festive tellement superbe, quemême le soleil s’est décidé à sortir et nous a offert un magnifique couché desoleil sur la mer.
 
Nous avons eu droit à un repas délicieux, un premier groupe demusique traditionnelle (Jean-Pierre et Noëlle ont acheté le CD !!!) puis à ungroupe plus rock qui a mis le feu à la salle.
Coté rencontres, nous avons partagé nos tables avec lesinsulaires IEG (Martinique, Guyane, Réunion et Guadeloupe) qui nous ont faitgoûter du piment pays (quelqu’un a de l’anti acide pour l’estomac? Les mecs de la Pharma sontlà, non ?) et surtout nous ont montrés, photos à l’appui, le type de problèmesCHSCT auxquels ils sont confrontés : un boa constrictor de plus de trois mètreset d’une vingtaine de kilos s’était lové dans la centrale thermique en Guyane,il a donc fallu aller le déloger, et comme ce n’est pas dangereux (sic), lesemployés l’ont fait eux -même et ont pris des photos, histoire d’avoir dessouvenirs, le tout sans faire arrêter la centrale ( pour quoi faire ? C’est lesmétropolitains qui évacuent et posent des droits de retraits pour la moindresouris (humour d’insulaire)).
 
La soirée durera jusqu’au bout de la nuit pour certains (en fait4h du mat’. Après ils nous ont sortis).
 
5ème et dernier jour : Nousbouclons nos valises avant de quitter l’hôtel pour notre dernière matinée detravail.
Mohsine dit adieu à la Mouette quiavait élue domicile sur le rebord de sa fenêtre pendant tout le séjour (lecharme oriental).
Le moment tant redouté et préparéarrive, c’est au tour du SCEPC de monter à la tribune afin de défendre sonamendement.
Malka m’accompagne au pied de lascène, les autres sont là, de tout coeur avec moi, les derniers secondes sontles pires, je tourne en rond, me tord les doigts, doute et puis plus le choix,je me lance et monte à la tribune à l’appel du président de séance.
Et là… Tout se passe bien,miracle, la diction est fluide, le ton est là, la salle approuve et applaudit(merci au lobbying de l’équipe Michel, JP, JJ et les autres), je respire enfinau bout de ces 8 minutes qui ont obsédé mon séjour, l’équipe est fière (jecrois) et moi émue et reconnaissante de la chance qui m’a été donnée de pouvoirreprésenter le SCEPC.
 
Il est temps de partir, malgré lesbons moments passés nous sommes tous heureux de regagner nos pénates, maishistoire de finir le séjour en beauté nous décidons d’aller voir le Mont StMichel (Noëlle est aux anges).
 
Puis, enfin, nous embarquons(certains à la dernière minute, hé oui, il y a aussi des embouteillages enBretagne), repus de cette aventure, pleins de souvenirs, fiers d’avoirparticipés au débat démocratique de notre fédération et surtout de vous avoirreprésentés.
 
Aux prochains maintenant,préparerez vous le RDV est fixé dans 2 ans à Rennes pour le congrès confédéral.
 
ET COMME DISENTLES BRETONS KENAVO !!!

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