Ce 2e débat sur les supports de communication a permis d’analyser collectivement avec les membres du CDF, les résultats de l’enquête lancée en avril dernier auprès des adhérents et militants de la FCE. 

Malgré une publicité récurrente de l’enquête dans nos publications, réseaux sociaux et site internet, le faible taux de participation est peut-être le premier élément de réponse quant à l’utilisation de nos supports. Toutefois l’analyse des réponses disponibles et les expressions libres données en fin de questionnaire, ont soulevé des réflexions intéressantes pour amorcer ce 2e débat avec le CDF dans une optique de préparation de notre prochaine feuille de route lors du 7e congrès à Biarritz.

A l’issue de la présentation des résultats, les nombreuses interventions des membres du CDF ont également apporté des analyses et réflexions sur l’évolution de nos supports de communication qui rejoignent en partie l’analyse de l’enquête.

Les équipes sont globalement en demande d’outils de communication opérationnels tels que des tracts, analyses politiques, dossiers techniques mais aussi d’éléments de communication graphique (gabarits, affiches, vidéos…).  

Notre présence sur les réseaux sociaux doit être également repensée pour atteindre une efficacité d’information et une cible de lectorat qui privilégie l’information numérique.

Si l’enquête révèle une bonne connaissance des publications papier que sont le S.H et le MAG, leur utilisation et attractivité ne répond pas toujours aux attentes de nos lecteurs. Les interventions ont donc permis d’aborder l’opportunité d’une transformation progressive d’une partie de nos publications papier vers le numérique. Celle-ci pourrait aussi s’accompagner d’une évolution du site internet pour répondre à des exigences à la fois d’attractivité mais également de contenus et d’accessibilité à l’interne comme à l’externe de notre fédération.

L’implication du CDF dans ce débat montre l’attachement à une communication fédérale efficace et utile à toutes et tous, avec une stratégie globale autour des mutations numériques et technologiques.
Elle est le gage d’une évolution nécessaire qui sera proposée dans la résolution de notre 7e congrès à Biarritz.