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Rencontre annuelle IGBCE/FCE-CFDT Un accord vivant

La deuxième rencontre annuelle entre notre fédération et nos homologues allemands de l’IGBCE s’est déroulée les 30 et 31 janvier 2002 à Paris.

La deuxième rencontre annuelle entre notre fédération et nos homologues allemands de l’IGBCE s’est déroulée les 30 et 31 janvier 2002 à Paris. L’accord de coopération signé le 24 avril 1999 entre nos deux organisations a ainsi été confirmé et renforcé à cette occasion.

Les échanges entre les deux délégations ont été empreints d’une confiance réciproque, fruit du travail réalisé en commun depuis deux ans.

Si le chantier le plus abouti est sans conteste la réalisation de nombreux séminaires de formation pour les membres des comités d’entreprise européens (CoEE), d’autres réalisations, parfois moins visibles, sont aussi des réussites. Par exemple, l’encadrement des adhérents FCE/IGBCE (mêmes prestations et assistance en cas de besoin), la poursuite de la construction de l’Emcef, l’approfondissement du dialogue social européen.

La coordination de la politique contractuelle a fait l’objet d’échanges plus poussés, et, très rapidement, des représentants de nos deux fédérations étudieront les systèmes de régulation sociale dans nos pays afin d’enrichir nos compréhensions mutuelles et alimenter la réflexion de l’Emcef dans ce domaine.

Il s’agira, avant toute chose, de dégager un référentiel commun pour mieux se comprendre et, dans la mesure du possible, harmoniser nos positionnements syndicaux.

Au quotidien, les échanges d’informations entre nos deux fédérations ont coulé de source, mais doivent être complétés plus régulièrement par la publication d’articles de fond dans nos presses fédérales respectives. Un lien Internet sera créé entre nos sites Web car de nombreux militants, en particulier les membres de CoEE, le souhaitent.

Les deux secrétaires généraux, Hubertus Schmoldt et Jacques Khéliff, au-delà de l’accord signé en 1999, se sont attachés à faire vivre cette coopération pour une meilleure compréhension de nos cultures, de nos réalités, de nos pratiques… Bref, à rapprocher nos syndicalismes.

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