La sixième réunion de négociation sur le sujet s’est conclue par la prise d’un rendez-vous à venir en septembre. C’est la preuve évidente que la chambre patronale tient à négocier.
C’est aussi la démonstration que les remarques et questions de la CFDT ont marqué la délégation patronale.
Pour la FCE, il est clair que la valeur de la prime d’ancienneté, dès lors qu’elle sera calculée sur la base d’un point spécifique, ne doit pas entraîner le gel de son montant. C’est une chose qui semble acquise aujourd’hui.
Des difficultés persistent quant au niveau des salaires minima, notamment pour le coefficient 130 qui se retrouve en dessous de la valeur du Smic.
Dans l’attente d’un accord « nouvelle politique salariale », les syndicats patronaux ont proposé qu’un accord soit signé dans le cadre des dispositions de 1984. Ainsi la valeur du point passerait de 5,56 à 5,62 e, et la valeur du 130 (TEG) à 1 170,32 e.
La FCE a demandé une revalorisation de ce montant.