La Cfdt continue de contester fermement cette mauvaise réforme, que ce soient les mesures d’âge (les 64 ans et l’accélération du nombre de trimestres requis), ou la suppression dogmatique du régime spécial des IEG, pourtant déjà profondément réformé il y a 19 ans, totalement équilibré et même excédentaire. Mais la Cfdt ne laissera pas non plus les pouvoirs publics et les employeurs décider, seuls, du sort des salariés de la branche des IEG.