Du 25 au 27 mars, la première liaison Arkema de l’année 2024 a rassemblé 38 militantes et militants dans une ambiance chaleureuse.
Après avoir fait un tour des différentes sections, le sujet sensible des « PFAS » a été abordé, et un point a été réalisé, le vendredi 29 mars, avec l’équipe syndicale de Pierre-Bénite en présence de Christelle Monier du secteur Santé au Travail.
La CFDT a pris en compte la gravité du sujet tant sur la santé des salariés et des riverains que sur l’outil industriel et les emplois. Elle s’implique dans toutes les commissions et réunions et reste à l’écoute des salariés.
Bruno Bouchard, délégué fédéral en charge de la branche Chimie, a fait un retour des différentes réunions et de la position de la CFDT au niveau des NAO, sujet sensible qui est encore d’actualité, et non résolu.
Une sensibilisation sur le harcèlement moral a été présentée par Stéphanie Serreau, où chacun a pu se rendre compte des moyens d’action disponibles et de son rôle en tant que militant en cas de harcèlement.
Dans la continuité du plan de travail fédéral, Marie-Pierre Laville a proposé à la liaison de mettre en place un dispositif pour établir annuellement un bilan carbone. En majorité, les militants présents ont adhéré à la proposition. La liaison Arkema est précurseur en la matière.
Le groupe Com de la CFDT Arkema a fait le bilan des sujets abordés dans les tracts et des tractages faits sur les sites industriels et tertiaires.
Mercredi matin, la liaison s’est répartie en deux groupes afin de distribuer un tract, avec un focus sur les cadres du site du Cétia, les conditions de travail sur Pierre-Bénite.